5 réponses à « Pater No Stress : de l’état du monde »

  1. Content de voir qu’au sommet de la chaîne alimentaire, on est aussi libre et sage qu’une bactérie. Vive l’évolution. Tous ces morts, toute cette énergie dilapidée pour en arriver là, c’est fabuleux. Et donc je dois parier que vous allez dénier vous intéresser au destin de cette planète assez tôt pour engendrer un bond technologique suffisant pour transcender les limites des ressources imparties en évitant une catastrophe climatique ? J’hésite entre crever le plus vite possible et vous regarder souffrir avant. Pondez des chiards, vous pourrez toujours leur expliquer pourquoi ils ont une vie de merde pire que celle que vous avez eue, et pourquoi vous devez leur interdire, à eux, d’engendrer.

  2. Hello. Avant j’avais ce même point de vue nihiliste et désabusé et puis j’ai pris un peu de recul. J’estime que la « solution » est plutôt dans un « contrôle » et une amélioration de l’espèce humaine. Perso je pense, et je le ferai, qu’il faut faire qu’UN SEUL enfant (allez maximum deux) et s’appliquer à lui enseigner l’amour, le respect et l’éduquer. Afin que la croissance démographique stagne et que le monde se peuple de gens « meilleurs ».
    Malheureusement il y a beaucoup trop de personnes qui font 10 gosses sans réfléchir, leur donnant aucun amour et aucune éducation, engendrant des générations d’humains aigris, bêtes et irrespectueux, car eux-mêmes ils ont manqué de ça durant leur enfance. Ca c’est stupide ! Et je t’invite donc cordialement à plutôt aller cracher ta bile sur ces gens inconscients, plutôt qu’ici.

  3. Hey, Wayne. Etant plutôt anti-nataliste moi aussi, je trouve assez présomptueux de croire qu’il suffit d’aimer un enfant et de l’instruire pour en faire une personne qui fera avancer l’humanité dans le bon sens. Une majorité des parents des classes moyennes font leurs enfants dans cet esprit, persuadé qu’avec LEURS gênes et LEUR éducation, ils parviendront à un résultat suffisamment profitable. La réalité c’est qu’aucun parent, aussi doué qu’il puisse être, n’élève son enfant seul. Ce dernier sera impacté tout autant sinon plus par sa socialisation secondaire, l’école, les pairs, les médias… Il est plus que probable que ton enfant sera soit dans la norme, soit hors normes et soucieux d’y rentrer pour minimiser la souffrance qui découle d’être hors norme. Personnellement, le mythe des « bons » et des « mauvais » faiseurs d’enfants, je le trouve teinté d’un fort mépris de classe et j’y crois à moitié…

    Signé: un zèbre qui a eu des parents aimants et présents mais reste peu convaincu par l’intérêt son passage sur terre

  4. Non mais je suis conscient de tout ça. Comme toi j’ai eu des parents aimants et ça ne m’a pas empêché d’avoir un cerveau de travers à cause d’éléments extérieurs, d’avoir ce sentiment d’être hors-normes une bonne partie de ma vie. Mais ce n’est pas pour ça que j’estime que je ne dois pas avoir d’enfant. J’ai envie de transmettre certaines choses… Après je suis évidemment perclus de doutes…
    Mais je respecte totalement l’avis contraire ; j’ai moi-même quelques amis qui ne désirent pas avoir d’enfant et je trouve ça compréhensible et tout à fait louable comme avis.
    Une chose est sûre, j’essaierai de faire de mon mieux !

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